Luc 10v25-37 : Le bon samaritain (parabole de Jésus)
Une des tentations de chaque jour est de considérer la vie chrétienne à travers une croyance ou des formes religieuses. L’enseignement de Jésus à travers la parabole du bon samaritain nous montre ce que Dieu attend de nous. Un théologien (un docteur de la loi) pose la question sur un sujet essentiel, qu’il devrait pourtant maîtriser : « comment avoir la vie éternelle ? » Et Jésus va donner plusieurs critères qui vont bien au-delà d’une simple croyance. Le bon samaritain nous pose aujourd’hui encore la question suivante : qui est disciple de Jésus-Christ ?
Psaume 78v32-39 ; Matthieu 14v22-33 : « Quelques fois, je me demande si j’ai la foi… »
Ah ! Que c’est formidable d’avoir une foi débordante, d’être un chrétien engagé, d’être toujours solide dans sa foi en Dieu, de connaître exaucement sur exaucement, de vivre des victoires sur le péché, d’être un chrétien hyper spirituel, d’avoir la foi en dieu quoi! Mais… je me demande si ça a été un jour le cas…, et quelques fois je m’interroge : est-ce que j’ai la foi en Dieu ? Vraiment ? Continuer la lecture…
Luc 8v40-56 : Seigneur, tu tardes…
Nous acceptons plus ou moins bien d’être en retard ; cette attitude chez les autres est peut-être plus difficile à supporter… Et quelle réaction avons-nous vis-à-vis des retards de Dieu ? Nous allons nous arrêter sur quelques uns de ces « retards », et ceci pour nous aider à supporter ou à comprendre ceux que nous pouvons connaître dans notre vie.
Continuer la lecture…2 Corinthiens 12v7-10 : Notre faiblesse dans la prière est notre force
La prière est une des grandes merveilles et… un des grands mystères de la vie. Difficile de parler d’un sujet qui se vit plus qu’il ne s’analyse. La prière n’est pas une invention humaine – même si je me rends compte quelques fois que je me parle plus à moi qu’à Dieu. C’est Dieu qui a inventé ce moyen de communiquer avec lui. Alors, même si je ne comprends pas tout de l’efficacité de la prière ni du comment, quel privilégié je suis de la vivre. Mais voilà : je la vis très mal, tellement imparfaitement… Alors, en fait, quelles sont les conditions que le Seigneur considère ? Elles sont peut-être différentes de celles que nous nous imposons.
Romains 2v1-16 : Quel sort final pour ceux qui n’ont pas entendu le message du salut ?
Il est des questions plus ou moins intéressantes ; celle que nous allons aborder ne nous touche pas directement et donc nous pourrions la classer facilement dans le tiroir « affaires à voir plus tard ». Il est des questions plus ou moins importantes ; nous avons certainement résolu celle d’aujourd’hui et donc elle pourrait devenir moins importante qu’elle ne l’a été jusqu’à ce que nous la résolvions. Il est des réponses plus ou moins justes face à des questions difficiles ; tout dépend de ce sur quoi nous nous appuyons pour y répondre. Mais nous voulons nous appuyer sur la Parole de Dieu pour essayer d’y voir plus clair.
Notre question porte sur le salut de ceux qui n’ont pas ou mal entendu parler du salut ; quel sera leur sort quand ils seront jugés par Dieu ? Mais cette question nous interpellera directement aussi. Lecture : Ro 2v1-16.
1 Rois 19v10 : Le découragement à cause des autres
Il nous arrive peut-être de temps en temps d’avoir une envie très forte d’être… sur une île ; tout seul. Loin des autres. Pourquoi ? Parce qu’ils sont décourageants ! Si bien qu’il peut arriver d’être usé par eux. Il est souvent difficile de vivre la cohabitation, même avec des chrétiens; le découragement nous guette, la lassitude s’installe, attention à l’abattement ! Les exemples dans la Bible prouvent que ce n’était pas encore le ciel (pas plus que maintenant) et que même les plus grands ont été découragés par les autres.
Nous commencerons en parlant des raisons qui mènent au découragement, pour ensuite en voir quelques conséquences ; nous nous arrêterons enfin sur quelques pistes de réflexion pour vaincre le découragement.
Ephésiens 3v6-19 : Les 4 dimensions de l’amour de Dieu – Dieu est amour !
Lecture Ephésiens 3v6-19 : « En sorte que (…) vous puissiez comprendre (…) quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaître l’amour de Dieu (de Christ) ». Notre société, chacun, y compris nous peut-être, est malade de manque d’amour vrai. Ce n’est pas nouveau. Le problème de cette carence et de cette incompréhension a 2 origines profondes :
- la dimension humaine, parce qu’on ne sait pas aimer son prochain (nous sommes tellement tournés sur nous-mêmes), parce que nous ne savons pas accepter qu’on nous aime (l’orgueil nous aide en cela) et puis peut-être n’avons-nous pas été aimés;
- la dimension divine : nous avons du mal à percevoir que Dieu est amour, car dans ce que nous estimons relever de sa responsabilité il semble faillir. Cela nous semble incompatible de parler de l’amour de Dieu alors même que la souffrance est partout. C’est liée à notre incompréhension de son amour.
Job 34v32 : Ce que je ne vois pas encore, montre-le-moi
Nous sommes face à l’incertitude de la rentrée ; que sera cette nouvelle étape quant à nos études, notre vie d’Eglise, sur le plan personnel ? Arrêtons-nous ce matin sur une parole qu’Elihu dit à Job en s’adressant à Dieu : « Ce que je ne vois pas encore, montre-le-moi » (Job 34v32).
Le contexte : Job est accablé, malgré sa vie qu’il estime sans péché grave ; et il ne comprend pas pourquoi il subit autant d’épreuves. En face, 4 amis qui s’escriment à lui faire admettre que s’il vit cela, c’est qu’il a lourdement péché. Ce qui est dur, c’est que les 2 camps ont raison : Dieu peut affirmer à Satan « Il n’y a personne comme lui : c’est un homme intègre et droit ; il craint Dieu et se détourne du mal » ; les amis ont raison également, il manquait à Job encore une dimension à sa connaissance de Dieu et de lui-même.
Avant d’aborder 2 domaines essentiels, nous allons voir la raison de cette demande que nous pouvons nous aussi faire à Dieu : « Ce que je ne vois pas encore, montre-le-moi ».
2 Thessaloniciens 2v9-12 : Satan vs Dieu – le combat spirituel
On entend parler d’évènements extraordinaires, surnaturels ; ils font poser la question : d’où viennent-ils ? Nous sommes dans une période d’ambiguïté : est-ce de Dieu ou de Satan; serait-ce des capacités humaines méconnues ? La société est incrédule vis-à-vis de la Bible et crédule pour tout ce dont l’origine est douteuse. On rejoue sans cesse le combat spirituel : Satan vs Dieu depuis des siècles ! Les chrétiens sont-ils à l’abri de ces risques… ? L’apôtre Paul met en garde les chrétiens.
Lecture 2 Thessaloniciens 2v9-12 : L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l’iniquité pour ceux qui périssent parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés. Aussi Dieu leur envoie une puissance d’égarement, pour qu’ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l’injustice, soient condamnés.
Ephésiens 3 : Les 4 piliers de la foi chrétienne
Quelqu’un remarquait que le seul élément garanti 30 ans dans la construction des maisons, c’était l’emprunt souscrit par les acheteurs… Question solidité chez les humains que nous sommes, on peut se poser quelques questions. Et pourtant, Dieu nous donne la possibilité d’être stables, solides. Comment est-ce possible ? Paul parle, dans Ephésiens 4, des piliers de la foi chrétienne. 4 piliers un peu comme les 4 pieds d’une chaise : il est possible de rester assis sur une chaise à 1 pied (faut juste être un peu acrobate…), ou même à 2 ou 3 pieds ; malgré tout, c’est moins stable qu’une chaise sur ses 4 pieds ! C’est valable sur le plan individuel, de la vie dans un couple, ou dans une Eglise locale.
Nous découvrons dans ces beaux versets bibliques sur la foi chrétienne, les 4 piliers de la foi en Dieu dans la Bible : 1) la vérité (v5, 15) ; 2) l’amour (v2, 16) ; 3) l’unité (v3, 13) et 4) la sainteté (v12, 13, 17, 24).